
samedi 16 mars 2019
vendredi 23 novembre 2018
Amour & Amitié

Je te remercie pour le temps, que tu me donnes
Ah ! Comme je voudrais entasser dans un coffre
Tous les mots évoqués, qui dans ma tête résonnent.
Ta main tendue, chaque fois que je te la demande
Est un geste rempli de tendresse, qui n'attend rien
Parfois même, tu agis avant que je ne quémande
Ce tracé, que tu créés afin que je vois mon chemin.
Ton écoute réelle, que je sais douce est merveilleuse
Ta présence réchauffe mon cœur laminé ou trop triste
Ton regard me rappelle, que je ne suis pas hideuse
Tu m'élèves souvent, en me lisant, au rang d'artiste.
Ton esprit, source de cette confiance nouvelle en moi
M'aide à comprendre ce passage en ce monde, sombre
Tu me distilles avec une telle aisance, une part de joie
Que plus jamais, mon visage ne reste dans la pénombre.
Ton âme libre qui est en symbiose totale, avec la mienne
Permet la montée nécessaire, pour embellir ce parcours
Effaçant les bribes gravées en elle, de toutes mes peines
En fait, je sais qu'il n'y a qu'un pas entre l'amitié et l'amour.
Le bonheur d'être heureux
S'oublier pour autrui, travailler à sa joie
Et faire son bonheur de le savoir heureux ;
Victime résignée et volontaire proie
Pour les plus grands ingrats être plus généreux ;
Sans se lasser jamais aux secrètes blessures,
Aux crève-cœurs, aux dénis, aux affronts, aux chagrins
Opposer le pardon, répondre à ses morsures
En dérobant ses pleurs sous les bienfaits sereins
Renvoyer aux méchants en miel leur amertume,
Retourner en bontés, aux oublieux, leurs torts
En dépit d'un penser qui tourmente ou consume
Rester doux aux vivants, pieux envers les morts,
Etouffer ses sanglots sous les saintes louanges,
Accepter sa croix même et l'éponge de fiel
C'est faire triompher l'âme et chanter les anges ;
C'est être sur la terre ambassadeur du ciel.
Et faire son bonheur de le savoir heureux ;
Victime résignée et volontaire proie
Pour les plus grands ingrats être plus généreux ;
Sans se lasser jamais aux secrètes blessures,
Aux crève-cœurs, aux dénis, aux affronts, aux chagrins
Opposer le pardon, répondre à ses morsures
En dérobant ses pleurs sous les bienfaits sereins
Renvoyer aux méchants en miel leur amertume,
Retourner en bontés, aux oublieux, leurs torts
En dépit d'un penser qui tourmente ou consume
Rester doux aux vivants, pieux envers les morts,
Etouffer ses sanglots sous les saintes louanges,
Accepter sa croix même et l'éponge de fiel
C'est faire triompher l'âme et chanter les anges ;
C'est être sur la terre ambassadeur du ciel.
Le bonheur retrouvé
Sur l'argent de la mer balayée par le vent,
Une inspiration aussi douce qu'une caresse,
Ondoie un oiseau au plumage flamboyant,
Tel le brasier d'un cœur attisé par l'ivresse
Berçant ses émois en vagues de sentiments.
Plongé dans l'immensité d'une âme inconnue
Pour trouver, dans ce miroir, l'émerveillement
De son regard d'enfant qu'il croyait perdu,
Il y aperçoit une source lumineuse
D'où jaillit une pluie d'étoiles cristallines,
Mille douceurs, mille lumières merveilleuses
Enveloppant de magie ses nuits opalines
Trop longtemps traversées le cœur en bandoulière.
Sur des rivages où n'existe pas le partage,
Il rêve d'une fée aux doigts de dentellière
Brodant des soleils sur sa vie et son visage,
Enlaçant d'or l'éphéméride de ses jours
Et tissant de passion l'horloge de ses nuits.
Il connaît la solitude et tous ses contours
Et ses sanglots se mêlent aux larmes de pluie
Quand la tristesse barbouille en gris l'horizon.
Mais, ce matin, il a trouvé son âme sœur
Et dans le ciel de ses yeux se lit l'émotion.
Il déploie ses ailes et vole vers son bonheur.
Une inspiration aussi douce qu'une caresse,
Ondoie un oiseau au plumage flamboyant,
Tel le brasier d'un cœur attisé par l'ivresse
Berçant ses émois en vagues de sentiments.
Plongé dans l'immensité d'une âme inconnue
Pour trouver, dans ce miroir, l'émerveillement
De son regard d'enfant qu'il croyait perdu,
Il y aperçoit une source lumineuse
D'où jaillit une pluie d'étoiles cristallines,
Mille douceurs, mille lumières merveilleuses
Enveloppant de magie ses nuits opalines
Trop longtemps traversées le cœur en bandoulière.
Sur des rivages où n'existe pas le partage,
Il rêve d'une fée aux doigts de dentellière
Brodant des soleils sur sa vie et son visage,
Enlaçant d'or l'éphéméride de ses jours
Et tissant de passion l'horloge de ses nuits.
Il connaît la solitude et tous ses contours
Et ses sanglots se mêlent aux larmes de pluie
Quand la tristesse barbouille en gris l'horizon.
Mais, ce matin, il a trouvé son âme sœur
Et dans le ciel de ses yeux se lit l'émotion.
Il déploie ses ailes et vole vers son bonheur.
Le bonheur est mélancolique.
Le bonheur est mélancolique.
Le cri des plus joyeux oiseaux
Paraît lointain comme de l'eau
Où se noierait une musique.
À l'œil qui s'en repaît longtemps
La couleur des fleurs est moins fraîche ;
L'herbe a parfois l'air d'être sèche
Sur le sein même du printemps.
L'allégresse comme un mensonge
Hausse sa note d'un degré
Et l'angoisse au cœur se prolonge
Sous un jour trop longtemps doré.
Le cri des plus joyeux oiseaux
Paraît lointain comme de l'eau
Où se noierait une musique.
À l'œil qui s'en repaît longtemps
La couleur des fleurs est moins fraîche ;
L'herbe a parfois l'air d'être sèche
Sur le sein même du printemps.
L'allégresse comme un mensonge
Hausse sa note d'un degré
Et l'angoisse au cœur se prolonge
Sous un jour trop longtemps doré.
Du bonheur à l'Amour
Allongé sous le pin parasol
Les yeux fermés, il rêve.
Un parfum de vanille
Embaumant l'air soudain
Le sort de sa rêverie,
Mais il ne bouge pas,
Il sait que c'est elle,
Il l'attend le cœur battant...
Il sent sa main caressant ses cheveux,
Descendant doucement sur sa nuque,
Dessinant le contour de son épaule.
Derrière ses paupières closes
Il s'enivre de son odeur,
Suit troublé et ravi
Le chemin de ses doigts douceur
Qui, mutins, s'aventurent
Dans l'échancrure de la chemise,
Il sent la délicieuse brûlure
De sa douce main sur sa peau.
Elle pose un tendre bisou
Délicatement sur sa joue,
Continue le voyage
Jusqu'à se perdre dans son cou,
Murmurant des mots d'amour
Pour le charmer plus encore...
L'instant est si doux,
Si troublant... il sourit.
Elle capture ce sourire
Dans un baiser volé,
Pose amoureusement
Sa tête sur son torse...
Ses bras se referment sur elle,
Et tous deux restent là,
Silencieux, dans ce matin d'été,
Savourant simplement le bonheur
D'être l'un près de l'autre !
Les yeux fermés, il rêve.
Un parfum de vanille
Embaumant l'air soudain
Le sort de sa rêverie,
Mais il ne bouge pas,
Il sait que c'est elle,
Il l'attend le cœur battant...
Il sent sa main caressant ses cheveux,
Descendant doucement sur sa nuque,
Dessinant le contour de son épaule.
Derrière ses paupières closes
Il s'enivre de son odeur,
Suit troublé et ravi
Le chemin de ses doigts douceur
Qui, mutins, s'aventurent
Dans l'échancrure de la chemise,
Il sent la délicieuse brûlure
De sa douce main sur sa peau.
Elle pose un tendre bisou
Délicatement sur sa joue,
Continue le voyage
Jusqu'à se perdre dans son cou,
Murmurant des mots d'amour
Pour le charmer plus encore...
L'instant est si doux,
Si troublant... il sourit.
Elle capture ce sourire
Dans un baiser volé,
Pose amoureusement
Sa tête sur son torse...
Ses bras se referment sur elle,
Et tous deux restent là,
Silencieux, dans ce matin d'été,
Savourant simplement le bonheur
D'être l'un près de l'autre !
Le bonheur de pouvoir aimer
Il est auprès de moi, sa main presse ma main,
Sa bouche s'embellit du plus charmant sourire,
Son teint s'anime, je soupire,
Sa tête mollement vient tomber sur mon sein ;
Là je respire son haleine,
Son haleine en parfum plus douce que la fleur.
De ses bras l'amoureuse chaîne
Rapproche mon cœur de son cœur ;
Bientôt nos baisers se confondent,
Ils sont purs comme nos amours :
Nous demeurons sans voix ;
Seuls nos yeux se répondent ;
Ils se disent tout bas :
Toujours, toujours, toujours !
Sa bouche s'embellit du plus charmant sourire,
Son teint s'anime, je soupire,
Sa tête mollement vient tomber sur mon sein ;
Là je respire son haleine,
Son haleine en parfum plus douce que la fleur.
De ses bras l'amoureuse chaîne
Rapproche mon cœur de son cœur ;
Bientôt nos baisers se confondent,
Ils sont purs comme nos amours :
Nous demeurons sans voix ;
Seuls nos yeux se répondent ;
Ils se disent tout bas :
Toujours, toujours, toujours !
Le bonheur
Heureux celui qui passe son enfance
Sous le regard de l'amour maternel !
L’œil d'une mère est fait pour l'innocence ;
Son âme amante est un présent du ciel.
Heureux celui dont la tendre jeunesse
Trouve au foyer de ses nobles parents
Le pain, hélas ! que souvent la richesse,
Sans le bénir, donne aux pauvres enfants !
Heureux celui qui, loin de sa patrie,
Trouve une main qui lui serre la main,
Une âme sûre, où son âme attendrie
Puise aujourd'hui l'espoir du lendemain !
Heureux surtout l'ami, l'époux, le père
Qui sait apprendre à ses petits enfants
Comment il faut aimer Dieu, père et mère,
Et puis bénir l'ami de ses parents !
Sous le regard de l'amour maternel !
L’œil d'une mère est fait pour l'innocence ;
Son âme amante est un présent du ciel.
Heureux celui dont la tendre jeunesse
Trouve au foyer de ses nobles parents
Le pain, hélas ! que souvent la richesse,
Sans le bénir, donne aux pauvres enfants !
Heureux celui qui, loin de sa patrie,
Trouve une main qui lui serre la main,
Une âme sûre, où son âme attendrie
Puise aujourd'hui l'espoir du lendemain !
Heureux surtout l'ami, l'époux, le père
Qui sait apprendre à ses petits enfants
Comment il faut aimer Dieu, père et mère,
Et puis bénir l'ami de ses parents !
Pour ton amour sincère
Amour tendresse bonté du cœur,
Beauté divine beauté suprême ;
Douce pensée d'une vie meilleure,
Ma dulcinée ma belle que j'aime.
J'ai tant rêvé j'ai tant aimé,
Vos douces lèvres se sont posées,
Baisers offerts baisers d'enfer,
M'ont foudroyé d'amour sincère.
Vos cheveux longs livrés au vent,
Vos yeux d'azur aussi charmants,
Vos cris d'amour qu'encore j'entends,
Plaisirs soupirs si bouleversants.
Vous êtes ma douce beauté suprême,
La femme unique d'amour que j'aime,
De toutes les filles de la terre,
La plus jolie la plus sincère.
J'ai tant aimé ce que vous fîtes,
Tant apprécié ce que vous fûtes,
De cet amour ce paradis,
Ces quelques mots que nuls réfutent.
Je n'ose encore vous dire aussi,
Tout cet amour qui me ravît,
Douceur bonheur si douce flamme,
Que m'ensorcelle si belle femme,
En ce poème vous donne récit !
Beauté divine beauté suprême ;
Douce pensée d'une vie meilleure,
Ma dulcinée ma belle que j'aime.
J'ai tant rêvé j'ai tant aimé,
Vos douces lèvres se sont posées,
Baisers offerts baisers d'enfer,
M'ont foudroyé d'amour sincère.
Vos cheveux longs livrés au vent,
Vos yeux d'azur aussi charmants,
Vos cris d'amour qu'encore j'entends,
Plaisirs soupirs si bouleversants.
Vous êtes ma douce beauté suprême,
La femme unique d'amour que j'aime,
De toutes les filles de la terre,
La plus jolie la plus sincère.
J'ai tant aimé ce que vous fîtes,
Tant apprécié ce que vous fûtes,
De cet amour ce paradis,
Ces quelques mots que nuls réfutent.
Je n'ose encore vous dire aussi,
Tout cet amour qui me ravît,
Douceur bonheur si douce flamme,
Que m'ensorcelle si belle femme,
En ce poème vous donne récit !
O^toi Prudence, Flamme de ma vie...

Que d'entendre l'écho de tous nos mots d'amour !
Quoi de plus déplaisant que ce dédain odieux
Qui pourrit les soirées et gangrène les jours !
Si mon amour pour toi sans fin se fortifie
Le tien en est la cause car tu me le dis,
Très loin de t'abaisser, ton aveu te grandit
Et dans ma nuit, tu es la flamme de ma vie !
Ces doux gentils propos alimentent le feu
Qui couve dans nos cœurs, en braise incandescente
Il suffit que tu sois, mon amie, mon amante
Pour me rendre la joie dont j'ai usé si peu !
Flamme de ma vie ! Si tu t'éteins ! Je meurs !
Met-toi donc à l'abri des vilains courants d'air
J'approche mes deux mains pour sentir ta chaleur
Et je me fonds en toi et tes yeux de mystère !
samedi 1 septembre 2018
Dans le silence de la nuit...

Dans le silence de la nuit je te cherche ... Où es-tu?
En cette nuit froide, je te voulais ici avec moi, me réchauffant, me donnant de l'amour ... Amour ...
Si je pouvais traverser cette obscurité et t'amener près de moi, je prendrais soin de toi comme tu le mérites et je ne te laisserais jamais partir ...